Quentin Laferté est Docteur Junior au CHU d’Amiens Picardie, en deuxième et dernière année d’option radiologie interventionnelle avancée (RIA). Un choix qui lui permet d’exprimer son rôle de soignant : « Cela apporte un plus de pouvoir être acteur direct de la prise en charge du patient », apprécie-t-il. À Amiens, la maquette de l’option RIA alloue au moins 50 % de l’emploi du temps des internes à l’interventionnel sur deux ans. « Concrètement, je passe 60 % en interventionnel et 40 % en imagerie diagnostique », évalue Quentin Laferté. Parmi les trois surspécialités de RI, sa préférence va vers l’oncologie ; « Je m’intéresse en particulier aux applications digestives. Il y a beaucoup de modalités comme la thermo-ablation ou la chimio-embolisation, etc. »
« On peut faire toute l'activité que l'on veut »
Pour leurs activités diagnostiques, les internes de RIA doivent choisir une surspécialité. Quentin Laferté a opté pour l’imagerie ostéoarticulaire. La formation satisfait-elle le jeune méd
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