« Nos docteurs juniors font la même chose en stage qu'avant la réforme ; ils ont les mêmes compétences. Je leur laisse juste un peu plus d'indépendance, sur la demande des chefs de service », explique Raphaël Campagna, maître de stage au centre d'imagerie de l'Orangerie, au Perreux-sur-Marne (Val-de-Marne), qui accueille aujourd'hui sa deuxième génération de docteurs juniors issus de la réforme de l'internat de 2017.
« La procédure de matching permet de sélectionner les plus motivés »
Si le radiologue francilien ne constate aucune différence dans son activité de maître de stage en dernière année d'internat de radiologie, il approuve la procédure de matching entre étudiants et stages, venue remplacer le rang de classement de l'internat. « Cet appariement me permet de favoriser un interne plus motivé par ma spécialité, l'imagerie musculosquelettique, par rapport à un autre. Je prendrai celui qui me dit qu'il veut être chef de clinique en ostéoarticulaire plutôt que celui qui se voit travai
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