Santé publique

La SIFEM et la SFSPM livrent leurs recommandations sur l’évolution du dépistage organisé du cancer du sein

Dans un document publié il y a quelques jours, la SIFEM et la SFSPM partagent le fruit de leurs réflexions sur les évolutions du dépistage organisé du cancer du sein. Elles préconisent notamment la dématérisalisation de la seconde lecture et une amélioration de la valorisation des examens d’imagerie mammaire.

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Le 29/04/25 à 7:00 Lecture 3 min.

Pour améliorer le taux d’adhésion des patientes, les sociétés recommandent de travailler sur l’expérience patient, de communiquer sur la dose et de rassurer sur le taux d’examens négatifs plutôt que sur le risque de cancer. © Carla Ferrand

Un groupe de travail composé de membres de la Société d’imagerie de la femme (SIFEM) et de la Société française de sénologie et de pathologie mammaire (SFSPM) vient de publier un document présentant ses préconisations sur les évolutions souhaitables du dépistage organisé du cancer du sein en France. Face aux mutations et aux enjeux rencontrés par le dépistage en termes d’accès, de participation, de nouvelles technologies et de valorisation, les deux sociétés se sont réunies pour proposer leurs recommandations.

Maintien d’une coordination régionale

En ce qui concerne l’organisation du dépistage, les sociétés préconisent « le maintien d’une coordination régionale médicalisée dans un cadre national robuste avec un cahier des charges national minimal pour gestion de la seconde lecture et le suivi des patientes ». Elles recommandent également que l’évaluation des taux de participation, des taux de détection de cancers et des taux de faux positifs soit réalisée par un organisme national indépe

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Carla Ferrand

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