Réglementation

Le nouveau régime des autorisations en médecine nucléaire précise ses conditions techniques

Un décret et un arrêté parus le 1er février détaillent les locaux, le personnel et le matériel dont devront disposer les titulaires des autorisations d’activité en médecine nucléaire à partir du 1er juin 2023. Chaque site pourra exploiter jusqu’à 9 appareils sur décision des ARS.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 11/02/22 à 17:30, mise à jour hier à 14:10 Lecture 4 min.

Les sites titulaires d'une autorisation d'activité pourront mettre en service jusqu'à 3 appareils sur simple déclaration à l'ARS (photo d'illustration). © C. F.

Le volet technique du nouveau régime des autorisations en médecine nucléaire est paru. Un décret et un arrêté signés le 1er février 2022 précisent les conditions techniques du fonctionnement de l’activité dans ce domaine. Ils complètent le décret du 30 décembre 2021, relatif aux conditions d’implantation de l’activité de médecine nucléaire, qui entrera en vigueur le 1er juin 2023.

Jusqu’à 9 appareils par site autorisé

L’arrêté du 1er février 2022 fixant pour un site autorisé le nombre d'équipements de médecine nucléaire en application du II de l'article R. 6123-136 du code de la santé publique définit à 3 le nombre d’appareils que le titulaire d’une autorisation pourra installer sans demander d’autorisation supplémentaire au-delà de l’autorisation initiale. Tout juste devra-t-il communiquer à son agence régionale de santé les caractéristiques d’une nouvelle machine avant sa mise en service. Le même arrêté prévoit que le directeur de l’ARS peut décider d’autoriser l’installation d’apparei

Il vous reste 81% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

27 Nov

7:10

L’intelligence artificielle (IA) est de plus en plus intégrée dans la recherche et la pratique en radiographie. Selon une étude parue dans Radiography, GenAI et les LLM offrent des opportunités transformatrices pour la recherche en radiographie à travers plusieurs étapes, de la conception de l’étude à la diffusion. Leur intégration exige toutefois une validation rigoureuse et des garanties éthiques pour limiter les biais, les erreurs et les risques liés à la confidentialité.

14:29

Une étude a évalué sept modèles LLM en open-source pour la synthèse des rapports radiologiques de patients ayant été victime d'un AVC ischémique aigu. Quatre modèles ont résumé efficacement des comptes rendus et pourraient être intégrés dans des flux radiologiques.

11:15

Selon une étude publiée dans l'American Journal of Roentgenology, la prévalence de malignité parmi les nodules surrénaliens indéterminés découverts fortuitement lors d'une tomodensitométrie avec injection de produit de contraste chez des patients sans cancer connu est extrêmement faible.

7:28

Si l'intelligence artificielle est très prometteuse chez l'adulte pour la détection et la caractérisation des nodules, ce n'est pas le cas sur les nodules pulmonaires pédiatriques, selon une récente étude. Celle-ci souligne la nécessité d'avoir une IA spécifique à la pédiatrie.    
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR