JFICV 2019

« Il faut que les procédures cardiovasculaires mini-invasives soient mieux remboursées »

À Vichy, du 20 au 22 juin 2019, les Journées de la SFICV ont mis en avant les dernières avancées en imagerie cardiovasculaire. Elles furent aussi l’occasion pour les radiologues interventionnels de rappeler qu’ils attendent toujours des cotations pour certains actes.

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Le 24/06/19 à 15:00, mise à jour aujourd'hui à 15:22 Lecture 2 min.

Les JFICV ont proposé des sessions sur l'imagerie cardiovasculaire diagnostique et interventionnelle sur deux parcours. © C. F.

Les Journées francophones d’imagerie cardiovasculaire diagnostique et interventionnelle (JFICV), qui se sont tenues à Vichy (03) du 20 au 22 juin 2019, ont mis à l’honneur des techniques innovantes. Parmi celles-ci : la confection endovasculaire des fistules artérioveineuses (FAV). « C’est une révolution, témoigne Romaric Loffroy chef du service d’imagerie médicale du CHU de Dijon et président de la Société française d’imagerie cardiaque vasculaire (SFICV). Nous en sommes aux balbutiements, il n’y a que deux centres français qui en font. À Dijon, nous en faisons depuis un an. » Dans le domaine des FAV, les radiologues interventionnels pourraient d’ailleurs grignoter du terrain face aux chirurgiens.

« La cryothérapie du rein en ambulatoire n’est pas remboursée »

Dans le secteur concurrentiel de l’interventionnel, la radiologie revendique avec énergie sa valeur ajoutée face aux autres spécialités. L’un des enjeux de la discipline reste la reconnaissance des bénéfices des procédures mini-in

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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