Bonnes pratiques

Le CIRTACI dévoile ses recommandations actualisées sur les produits de contraste

Le groupe de travail de la SFR sur les produits de contraste a présenté lors des JFR 2019 ses recommandations sur les PDC iodés et gadolinés. Objectif : aider les radiologues à optimiser les doses pour garantir la sécurité des patients, mais aussi éviter le gâchis.

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Le 14/10/19 à 11:00, mise à jour hier à 15:15 Lecture 4 min.

Le 12 octobre, une session des JFR était consacrée aux recommandations du CIRTACI pour l'optimisation de l'utilisation des produits de contraste. © C. F.

D’ici quelques jours, le Comité interdisciplinaire de recherche et de travail sur les agents de contraste en imagerie (CIRTACI) de la Société française de radiologie (SFR), publiera ses fiches de recommandation sur l’optimisation des doses de produits de contraste iodés et gadolinés. Samedi 12 octobre, une session des Journées francophones de radiologie (JFR) a donné un avant-goût de ces recommandations.

Un choix de dose en fonction des pathologies

Concernant le gadolinium, Anne-Laure Gaultier, radiologue à l’hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP) a souligné que la dose usuelle clinique de 0,1 mmol/kg est la plus largement utilisée dans les différentes disciplines. Toutefois, précise-t-elle, la quantité doit s’adapter à la pathologie : « Il est possible d’injecter une demi-dose de 0,05 mmol/kg pour l’étude de grandes tumeurs de l’encéphale, par exemple les méningiomes, et des lésions comme les neurinomes, et l’étude de l’hypophyse pour la recherche de tumeurs. » L’utilisation de la dou

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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12 Sep

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La biopsie pulmonaire percutanée guidée par ultrasons (US-PLB) sur les patients pédiatriques serait sans rayonnement, sûre et précise d’après des chercheurs de l’hôpital de Beijing (Chine). Selon l’analyse de cohorte rétrospective menée sur 34 patients, l’US-PLB offrirait des conseils « critiques pour la prise de décision clinique ».  

13:29

Chez les patients atteints d'accident vasculaire cérébrale ischémique aigu, subissant une thrombectomie mécanique, mieux prévoir le risque de recanalisation futile serait possible grâce à deux marqueurs d'imagerie : Le scanner sans contraste et l'angioscanner. Selon l’étude parue dans Springer Nature, l’intégration d’un nomogramme grâce à ses données permettrait de faciliter la prise de décision thérapeutique.  

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Jean-Philippe Masson, président de la FNMR, a reçu dans son centre d'imagerie à Carcassonne, le ministre chargé de la Santé et de l’accès aux soins, Yannick Neuder pour évoquer les déserts radiologiques et le protocole proposé par la CNAM. La FNMR a réaffirmé son opposition aux baisses tarifaires prévues et insisté sur la nécessité de mesures de pertinence, annonce la fédération sur le réseaux social Linkedin.
11 Sep

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La reconstruction compensée en mouvement améliorerait « significativement » la qualité subjectives des images en réduisant les artefacts en angioscanner coronaire (CCTA) comparée à la reconstruction standard à 78 % d'intervalle RR. Une technique qui permet, selon l'étude retrospective, une meilleur interprétabilité de l'image diagnostic chez les patients orientés pour CCTA et ce dans la plupart des fréquences cardiaques et des grands vaisseaux (moins de 1,5 mm).
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