Point de vue

Pourquoi êtes-vous devenu PU-PH et qu’est-ce que ça change pour vous ?

Nommés professeurs des universités-praticiens hospitaliers en 2024 par décret du Président de la République, des radiologues et médecins nucléaires saluent la liberté d’exercice et la polyvalence que leur confère ce statut.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 01/04/25 à 7:00, mise à jour le 01/04/25 à 12:32 Lecture 4 min.

« La polyvalence et la liberté d’évolution dans ma carrière professionnelle me motivent »

Matthieu Bailly, PU-PH, médecin nucléaire au CHU d’Orléans (45)

Je me suis rendu compte lors de ma thèse de science qu’une carrière hospitalo-universitaire me permettrait d’avoir une certaine liberté dans le choix de mon exercice, avec la possibilité d’avoir des activités de recherche et d’enseignement. Lorsque l’on est PU-PH, on peut plus facilement y consacrer de son temps tout en conservant une activité de soin, car cela fait partie intégrante de nos missions. L’avantage est donc de pouvoir jongler entre ces trois missions un peu indissociables, mais qu’on peut effectivement prioriser en fonction des moments de sa carrière. Par exemple, au CHU d’Orléans, nous sommes dans un processus de création de formation médicale, nous sommes donc très investis pédagogiquement, tout en menant des missions de recherche à côté. Cela me motive particulièrement de me dire qu’effectivement, si l’attrait pour

Il vous reste 82% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Solenn Duplessy

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

21 Nov

15:34

Des chercheurs ont examiné l’association entre la charge allostatique (AL), un indicateur de dysrégulation physiologique liée au stress, et la présence de pathologie maligne lors de biopsies mammaires guidées par imagerie. Les résultats suggèrent qu’une AL plus élevée est liée à un risque accru de pathologie maligne, ce qui pourrait guider des stratégies de dépistage personnalisées, indique une étude publiée dans JACR.

13:17

L’IRM rapide avec la reconstruction par apprentissage profond (DLR) améliore la qualité d’image et la précision diagnostique pour l’appendicite complexe par rapport à l’IRM non DLR et à la tomographie par contraste, offrant une alternative précieuse pour les patients sensibles aux radiations. (Étude).

7:09

Une étude évaluant plusieurs grands modèles de langage a montré que le modèle OpenAI o3 obtenait la meilleure précision à l’examen national japonais des techniciens en radiologie, atteignant 90 % de réussite.
20 Nov

15:06

Une étude montre que l’angioscanner coronaire à détecteur photonique, réalisée avec des doses réduites de rayonnement et de produit de contraste, offre une excellente qualité d’image et une précision diagnostique élevée, en particulier avec les reconstructions en VMI à 55 keV. Cette technique permet de détecter avec fiabilité les sténoses obstructives et les resténoses intrastent chez des patients souffrant d’une maladie coronarienne associée à l’inflammation.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR