En 2019, la Société d’imagerie musculosquelettique (SIMS) a consacré ses journées thématiques de juin à la hanche. Parmi les orateurs de ce congrès, Didier Mainard, chef du service de chirurgie orthopédique, traumatologique et arthroscopique du CHU de Nancy, professeur à l’université de Lorraine et président de la Société française de chirurgie orthopédique et traumatologique (SOFCOT), a présenté les techniques de planification par imagerie de la pose totale de prothèse de hanche. « La planification est indispensable à la bonne réalisation de cette opération », a-t-il souligné en préambule.
La radiographie en référence
La planification en 2D, autrefois manuelle, aujourd’hui automatisée, reste la référence. Elle consiste à apposer des calques, fémoral et acétabulaire, sur une radiographie de la hanche. « La qualité et la fiabilité de l’opération dépendent de la qualité de la radiographie et du positionnement du patient, qui doit être parfaitement standardisé », note Didier Mainard.
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