Un stroke mimic est un déficit neurologique brutal qui ressemble à un accident vasculaire cérébral (AVC), mais n’est pas lié à une cause vasculaire. Lors de l’édition 2016 des Journées francophones de radiologie, Myriam Edjlali-Goujon, radiologue à l’hôpital Sainte-Anne à Paris, a expliqué aux congressistes comment reconnaître ces pathologies.
Le plus grand pourvoyeur de stroke mimics est le déficit postcritique
« Cela peut paraître simple, mais parfois ce n’est pas du tout évident. Une décision de traitement de type fibrinolyse ou thrombectomie découle pourtant de l’interprétation de l’imagerie », entame-t-elle. Le plus grand pourvoyeur de stroke mimics est le déficit postcritique, chez un patient qui a eu une crise épileptique sans témoin. Il va être retrouvé sur ce déficit postcritique, parfois aphasique, ne pouvant pas expliquer qu’il a été frappé d’une crise.
L’IRM pour réorienter le diagnostic
D’autres causes existent. Parmi elles, les tumeurs, scléroses en plaques, des troubles de s
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