Quel bilan d’imagerie réaliser en cas d’urgence pelvienne aiguë ? La question a été posée pendant les Journées françaises de radiologie (JFR) 2015, lors d’un cours thématique sur l’imagerie de la femme animé par Ingrid Millet, radiologue au CHU Lapeyronie à Montpellier.
Les recommandations anglo-saxonnes reposent sur des hypothèses diagnostiques et non sur le caractère septique ou non de la douleur (voir schéma). « Si nous pensons que la douleur pelvienne est d’origine gynécologique, notamment chez la femme jeune, l’exploration échographique est privilégiée. Elle comporte un examen initial de la cavité abdominopelvienne complété par un examen endocavitaire », explique l’intervenante. En cas de suspicion d’une douleur pelvienne d’origine urologique ou digestive, le scanner est l’examen de première intention. « Il doit alors être réalisé avec injection. Le taux de βhCG doit, dans ce cas, avoir été vérifié chez la femme en âge de procréer. » L’IRM n’a pas sa place dans cette procédure de p
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