Douleur

L’urgence pelvienne aiguë en contexte septique et non septique

Le recours à l’imagerie est indispensable pour déterminer les origines des douleurs pelviennes aiguës chez la femme, qu’elles aient un caractère septique ou pas.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 29/12/16 à 19:00, mise à jour hier à 15:09 Lecture 6 min.

Abcès tubo-ovarien droit chez une patiente de 30 ans en IRM. D. R.

Quel bilan d’imagerie réaliser en cas d’urgence pelvienne aiguë ? La question a été posée pendant les Journées françaises de radiologie (JFR) 2015, lors d’un cours thématique sur l’imagerie de la femme animé par Ingrid Millet, radiologue au CHU Lapeyronie à Montpellier.

Les recommandations anglo-saxonnes reposent sur des hypothèses diagnostiques et non sur le caractère septique ou non de la douleur (voir schéma). « Si nous pensons que la douleur pelvienne est d’origine gynécologique, notamment chez la femme jeune, l’exploration échographique est privilégiée. Elle comporte un examen initial de la cavité abdominopelvienne complété par un examen endocavitaire », explique l’intervenante. En cas de suspicion d’une douleur pelvienne d’origine urologique ou digestive, le scanner est l’examen de première intention. « Il doit alors être réalisé avec injection. Le taux de βhCG doit, dans ce cas, avoir été vérifié chez la femme en âge de procréer. » L’IRM n’a pas sa place dans cette procédure de p

Il vous reste 88% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Notes

Cet article a été initialement publié dans Manip info n° 81.

Auteurs

Virginie Facquet

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

05 Sep

16:07

Les patientes atteintes de malformations artérioveineuses cérébrales non rompues avec une localisation occipitale sont plus susceptibles d’avoir des maux de tête. L’angiographie quantitative par soustraction numérique peut quantifier objectivement les changements hémodynamiques dans les maux de tête liés au MAV non rompues. (étude).

13:12

La fédération des médecins de France organise un colloque sur la place de l'IA en médecine libérale le vendredi 12 au samedi 13 septembre à Paris.

7:30

Docteur Imago

GRATUIT
VOIR