Lors des dernières Journées francophones de radiologie, une session internationale de la Société française d’imagerie de la femme (SIFEM) a été organisée sur le thème de l’imagerie gynécologique oncologique. La présentation du Dr Nougaret de Montpellier a identifié les outils d’imagerie IRM permettant de mieux s’en sortir en cas de suspicion de léiomyosarcome utérin.
Tout radiologue connaît ce sentiment d’insécurité lors de l’interprétation d’une IRM pelvienne pour masse utérine myométriale qui ne présente pas les caractéristiques typiques du léiomyome bénin. D’autant plus lorsqu’il s’agit d’une patiente non ménopausée avec désir de grossesse, chez qui la sanction diagnostique de l’IRM pourrait être l’hystérectomie.
Si une augmentation rapide de volume dans un contexte de ménopause témoigne souvent de l’origine maligne d’une masse utérine, elle peut aussi s’observer en cas de léiomyome cellulaire ou dégénératif. Aussi les marqueurs sériques tels que la LDH, la LDH Isozyme de type 3 ou le
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