À l’accueil, un siège sur deux est marqué d’une grosse croix rouge. Les secrétaires sont protégées par des panneaux en plexiglas. En salle d’attente IRM, deux patientes masquées discutent, à bonne distance l’une de l’autre. À l’hôpital de Fécamp (76), en ce début novembre, la peur et l’effarement du printemps ont laissé place à une routine bien assimilée, où la vigilance reste draconienne.
Des équipes mieux préparées
Sur l’unique scanner du service, les examens pour suspicion de Covid sont regroupés sur des plages horaires définies. « Si ce sont des examens pas trop urgents, nous les faisons soit en fin de matinée, après nos patients externes, soit en fin d’après-midi, explique la manipulatrice Céline Dudout. Les demandes urgentes, pour des suspicions d’embolie pulmonaire ou autres, passent entre deux patients externes. » La manip affirme être mieux préparée pour cette seconde vague : « Nous avons tout ce qu’il faut pour nous protéger. Au printemps, nous avons manqué de masques, de blous
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