À l’accueil, un siège sur deux est marqué d’une grosse croix rouge. Les secrétaires sont protégées par des panneaux en plexiglas. En salle d’attente IRM, deux patientes masquées discutent, à bonne distance l’une de l’autre. À l’hôpital de Fécamp (76), en ce début novembre, la peur et l’effarement du printemps ont laissé place à une routine bien assimilée, où la vigilance reste draconienne.

