Dossier

Le dépistage du cancer du poumon en attente de décisions

Fin janvier 2020, les résultats complets de l’essai NELSON ont confirmé les bénéfices d’un dépistage du cancer du poumon par scanner basse dose chez les personnes à risque. Depuis lors, la communauté médicale, radiologues en tête, redouble d’efforts pour inciter les autorités à étudier au plus vite la mise en œuvre d’un tel dispositif sur le terrain. Les expérimentations doivent servir à préciser les besoins humains et matériels du dépistage, à mieux définir sa population cible et son taux d’adhésion, mais aussi à évaluer ses effets socio-économiques.

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Le 08/04/20 à 7:00, mise à jour hier à 14:05

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

13:55

Les Hôpitaux civils de Colmar ont signalé un évènement de radioprotection après que deux praticiens en radiologie interventionnelle ont reçu des doses significatives de rayonnements aux mains, l’un dépassant légèrement la limite annuelle réglementaire. L’ASNR classe l’incident au niveau 1 de l’échelle INES et vérifie la mise en place des mesures correctives, rappelant l’importance du port systématique des dosimètres, indique l'institution.

7:53

Des chercheurs ont évalué l’incidence des cancers du poumon diagnostiqués dans les deux années suivant des recommandations émises par des radiologues pour un scanner thoracique dans les comptes rendus de scanner et d’IRM de la tête et du cou. Ils suggèrent que la fréquence de ces recommandations devrait être considérablement réduite (étude).
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