Docteur Imago / Vous êtes président de la FRI-SFR depuis un an. Avant de défendre les radiologues interventionnels, comment êtes-vous venu vous-même à la radiologie interventionnelle (RI) ?
Vincent Vidal / Initialement, je voulais être chirurgien. Mais en cinquième année de médecine, après avoir fait pas mal d’aide opératoire et vu un certain nombre de chirurgies, je me suis senti moins tenté. Quand j’ai fait le choix de la radiologie, c’est la radiologie interventionnelle qui m’y a amené. Ça correspondait parfaitement à mes attentes : c’était très polyvalent au niveau des organes, il y avait beaucoup de technologie, plein de choses nouvelles et en développement, et la possibilité de faire aussi du diagnostic. J’ai trouvé que c’était très ouvert.
D. I. / Aujourd’hui, combien de radiologues pratiquent la RI en France ?
V. V. / Sur 9 000 radiologues, environ 2 000 déclarent faire de la radiologie interventionnelle. Tous ne font pas de la RI avancée, et un certain nombre font plutôt des gest
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