Politique de santé

Les projets régionaux de santé 2023-2028

Presque toutes les agences régionales de santé ont élaboré et publié à l'automne dernier leur projet régional de santé pour la période 2023-2028. Ces documents définissent les objectifs et la politique de santé dans chaque territoire, notamment en matière d'implantation d'activité et d'équipements d'imagerie en coupes et de médecine nucléaire.

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Le 08/01/24 à 15:00 Lecture 7 min.

Ces documents définissent les objectifs et la politique de santé dans chaque territoire, notamment en matière d'implantation d'activité et d'équipements d'imagerie en coupes et de médecine nucléaire (photo d'illustration). © Carla Ferrand

Arrivés à échéances après cinq ans de mise en œuvre, les projets régionaux de santé des territoires des agences régionales de santé ont fait l'objet d'une révision pour la période 2023-2028. Ces PRS sont décrits dans trois documents : le « Cadre d'orientation stratégique », qui porte les objectifs généraux et les résultats attendus à 10 ans, le « Schéma régional de santé » et le « Programme régional relatif à l’accès à la prévention et aux soins des personnes les plus démunies », qui définissent les objectifs stratégiques à 5 ans.

ARS Île-de-France

Publié le 31 octobre 2023, le projet régional de santé 2023-2028 a été adopté par l’agence régionale de santé Île-de-France en novembre 2023. Consulter les documents : Le cadre d'orientation stratégique Le schéma régional de santé Le programme régional d’accès à la prévention et aux soins

ARS Nouvelle Aquitaine

En Nouvelle Aquitaine, le projet régional de santé met en exergue six défis à relever dont l’évolution démographique

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Auteurs

Solenn Duplessy

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ARS

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icon réservé aux abonnés La radiologie cadrée par des projets régionaux de santé 2023-2028 encore flous

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Des chercheurs ont examiné l’association entre la charge allostatique (AL), un indicateur de dysrégulation physiologique liée au stress, et la présence de pathologie maligne lors de biopsies mammaires guidées par imagerie. Les résultats suggèrent qu’une AL plus élevée est liée à un risque accru de pathologie maligne, ce qui pourrait guider des stratégies de dépistage personnalisées, indique une étude publiée dans JACR.

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