Économie

Après la réforme des produits de contraste, l’imagerie fait ses premiers comptes

Les centres et services d'imagerie ont basculé dans un nouveau mode de gestion des produits de contraste. Les premiers constats sur le terrain font état de quelques tensions d'approvisionnement les premiers jours, mais c'est surtout sur la comptabilité que les difficultés et les différences se font le plus ressentir.

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Le 03/05/24 à 7:00 Lecture 6 min.

La nouvelle organisation sur l'achat et la gestion des produits de contraste est désormais effective et, comme prévu, la situation financière diffère d'un site à l'autre en fonction de l'activité (Photo d'illustration).. D. R.

La nouvelle organisation de l'achat et de la gestion des produits de contraste est désormais effective et, comme prévu, la situation financière diffère d'un site à l'autre en fonction de l'activité.

95 % d'examens injectés en cancérologie

Au service de radiologie du centre de cancérologie Antoine-Lacassagne, à Nice (06), 90 % des patients d’imagerie sont des patients externes. Le service possède deux IRM et un scanner. Chaque jour, une cinquantaine de patients passent dans le service, et 95 % des examens sont injectés. D'un point de vue purement logistique, le service a pu s'organiser relativement aisément car il bénéficie d'une pharmacie à domicile. « Nous avions déjà des PDC achetés par notre pharmacie interne pour les patients hospitalisés mais cela représentait une proportion extrêmement réduite, témoigne Guillaume Baudin, le chef du service d'imagerie médicale. La pharmacie s’est adaptée car nous commandons des volumes beaucoup plus importants. Mais comme c’est un circuit qui

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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