Organisation des soins

Les subtilités de l’imagerie cardiaque en libéral

Lors du congrès de la SFICV, le radiologue Nicolas Vignon a partagé son expérience de la pratique de l’imagerie cardiaque en libéral et dispensé quelques conseils d’organisation pour faire face à une demande toujours plus importante.

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Le 28/08/18 à 11:00, mise à jour hier à 15:07 Lecture 2 min.

Au dernier congrès de la SFICV à Beaune, le radiologue Nicolas Vignon a décrit les particularités de l'imagerie cardiaque en activité libérale. © C. F.

Le 23 juin dernier, le congrès de la Société française d’imagerie cardiovasculaire (SFICV) a invité plusieurs radiologues à partager leur expérience de praticiens libéraux en imagerie vasculaire. Parmi eux, Nicolas Vignon, radiologue au centre d’imagerie IM2P à Dijon, a décrit une activité en pleine expansion. « La demande d’examens est croissante, constate-t-il. Nous collaborons avec beaucoup de spécialistes : des cardiologues, des angiologues, et plus rarement des internistes, des hématologues ou des médecins traitants. »

Les demandes d'examens affluent

Son groupe d’imagerie compte 40 radiologues, répartis dans le Jura et la Côte-d’Or. Parmi ceux-ci, quatre sont compétents en IRM cardiaque, quatre en vasculaire interventionnel et six en scanner cardiovasculaire. Le groupe possède sept IRM, dont quatre dotées d’un pack pour l’imagerie cardiologique. « Chaque semaine, nous réalisons dix IRM cardiaques, deux à cinq IRM aortiques et deux ou trois bilans avant une procédure TAVI. »

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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