ECR 2024

Quelles conditions de sécurité pour les implants passifs et actifs en IRM ?

Une session de l’ECR 2024 s‘intéressait aux récentes évolutions en matière de sécurité en IRM. À cette occasion, un MERM expert a décrit les conditions d’examen et les points de vigilance sur l’imagerie des implants passifs et actifs.

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Le 12/04/24 à 15:00 Lecture 4 min.

Lors de l'ECR 2024, Vitor Manuel Silva, MERM à l’hôpital universitaire São João (Portugal), a fait le point sur les pratiques actuelles en matière de sécurité IRM pour les patients porteurs de dispositifs implantables. © C. F.

Lors du congrès européen de radiologie 2024, Vitor Manuel Silva, MERM à l’hôpital universitaire São João à Porto (Portugal) a fait le point sur les pratiques actuelles en matière de sécurité IRM pour les patients porteurs de dispositifs implantables. Comme il le rappelle, ces implants sont classés en deux catégories : passifs et actifs. Un implant passif est implanté à l'intérieur du patient ou fixé sur lui. Il n'utilise pas d'énergie électrique pour fonctionner, et il s'agit en général d'une fonction mécanique, par exemple, une prothèse de hanche. Quant aux implants actifs, ils utilisent une énergie électrique provenant d'une source autre que celle générée directement par le corps humain, par exemple, un stimulateur cardiaque.

Les spécificités des implants passifs

Concernant les implants passifs, il existe des dangers et des risques lors d’une interaction avec le champ magnétique statique de l’IRM. « L'échauffement peut conduire à des brûlures, à cause de la radiofréquence et des bo

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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12 Sep

16:00

La biopsie pulmonaire percutanée guidée par ultrasons (US-PLB) sur les patients pédiatriques serait sans rayonnement, sûre et précise d’après des chercheurs de l’hôpital de Beijing (Chine). Selon l’analyse de cohorte rétrospective menée sur 34 patients, l’US-PLB offrirait des conseils « critiques pour la prise de décision clinique ».  

13:29

Chez les patients atteints d'accident vasculaire cérébrale ischémique aigu, subissant une thrombectomie mécanique, mieux prévoir le risque de recanalisation futile serait possible grâce à deux marqueurs d'imagerie : Le scanner sans contraste et l'angioscanner. Selon l’étude parue dans Springer Nature, l’intégration d’un nomogramme grâce à ses données permettrait de faciliter la prise de décision thérapeutique.  

7:18

Jean-Philippe Masson, président de la FNMR, a reçu dans son centre d'imagerie à Carcassonne, le ministre chargé de la Santé et de l’accès aux soins, Yannick Neuder pour évoquer les déserts radiologiques et le protocole proposé par la CNAM. La FNMR a réaffirmé son opposition aux baisses tarifaires prévues et insisté sur la nécessité de mesures de pertinence, annonce la fédération sur le réseaux social Linkedin.
11 Sep

15:00

La reconstruction compensée en mouvement améliorerait « significativement » la qualité subjectives des images en réduisant les artefacts en angioscanner coronaire (CCTA) comparée à la reconstruction standard à 78 % d'intervalle RR. Une technique qui permet, selon l'étude retrospective, une meilleur interprétabilité de l'image diagnostic chez les patients orientés pour CCTA et ce dans la plupart des fréquences cardiaques et des grands vaisseaux (moins de 1,5 mm).
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