Le CHRU de Brest (Finistère) se situe aux deux extrémités du spectre de la téléradiologie, puisqu’il est à la fois utilisateur et prestataire. « À Brest, nous faisons appel à la téléradiologie privée la journée car il n’y a pas assez de radiologues à l’hôpital, explique Philippe Guillo, chef du pôle d’imagerie. La nuit, des radiologues sont présents et interprètent les examens de l’ensemble du territoire. Nous assurons la permanence des soins par téléradiologie pour les sites de Landerneau, de Carhaix et l’hôpital d’instruction des armées de Brest. »
Une téléradiologie publique de territoire
Ces établissements hospitaliers n’ont plus de radiologue de garde la nuit depuis plusieurs années. Le CHRU envisage d’ailleurs de développer la télé-imagerie publique de territoire. « Dans notre secteur il y a tout un réseau d’hôpitaux publics dont il faut qu’on reprenne la permanence des soins. Morlaix est en difficulté, ainsi que Guingamp », témoigne Philippe Guillo.
Les radiologues reviennent
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