Du gadolinium dans les cerveaux

Faut-il craindre les agents de contraste au gadolinium ? Depuis que plusieurs études ont montré que certains d’entre eux peuvent laisser des traces dans le cerveau après des expositions répétées, le débat agite la communauté scientifique, les laboratoires pharmaceutiques et les pouvoirs publics. Pendant que les travaux de recherche se multiplient, certains soulignent l’absence de preuve de toxicité de ces dépôts quand d’autres invoquent le principe de précaution et appellent à la prudence. Le Commission européenne a tranché en novembre 2017, en retirant l'autorisation de mise sur le marché de trois agents de type linéaire.

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Le 12/05/17 à 15:00, mise à jour aujourd'hui à 15:24

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

12 Août

15:00

L'apprentissage hybride, qui combine ressources en ligne et interactions avec des formateurs, favorise l'acquisition des connaissances théoriques, mais n'est pas adapté pour inculquer les compétences pratiques requises pour les étudiants dans le domaine médical, selon une étude présentée dans Radiography.

7:16

Une étude montre une augmentation de 244 % des examens de scanner délivrant des doses ≥50 mSv entre 2017 et 2022, particulièrement chez les patients ayant un IMC élevé. Cette hausse est liée à l'utilisation de nouveaux scanners dotés de tubes à rayons X puissants mais avec des mesures de protection insuffisantes, notamment pour les patients en surpoids et obèses.  
11 Août

15:55

L'accès des patients aux rapports d’imagerie sans accompagnement peut engendrer une détresse émotionnelle importante, même chez des professionnels de santé, en raison du manque de soutien et de contexte. Une étude souligne la nécessité de repenser les modalités de communication des résultats médicaux pour mieux protéger le bien-être des patients.

7:19

GPT-4o s'est révélé efficace pour la traduction multilingue de rapports de radiologie, offrant des résultats rapides et globalement fiables en anglais, français et espagnol. Cependant, des limites subsistent pour le russe, avec davantage d’erreurs factuelles et de lisibilité, observe une étude publiée dans European journal of radiology.
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