Une équipe de radiologues allemands s’est intéressée à la place de l’IRM dans la détection et l’évaluation de fractures et des pathologies dégénératives vertébrales. Et si cette modalité pouvait concurrencer le scanner conventionnel ? Les résultats de leur étude y répondent plutôt favorablement, avec une IRM 3 T. Ils ont été publiés dans European Radiology [1] en juillet 2021.
Séquence 3D T1 en écho de gradient avec destruction de l'aimantation transversale résiduelle
30 patients ont été inclus dans l’étude entre 2018 et 2019 et présentaient 44 fractures et 60 pathologies dégénératives. Ils ont tous bénéficié d’un scanner et d’une IRM 3 T. Les séquences 3D utilisées pour cette dernière modalité sont la pondérée T1 en écho de gradient avec destruction de l'aimantation transversale résiduelle (T1SGRE) et la séquence à temps d’écho ultra-court (UTE). Deux radiologues ont évalué les caractéristiques morphologiques des images en coupe. La précision diagnostique, la concordance entre les deux
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