Le 17 septembre, la première journée du congrès de la Société d'imagerie de la femme (SIFEM) s’est dédiée à l’imagerie gynécologique, avec notamment une session technique sur les apports et limites de l’IRM de diffusion et de la TEP-TDM au [18F]FDG en cancérologie. Lors de cette présentation, Laure Fournier, radiologue à l’hôpital européen Georges-Pompidou (Paris), et Olivier Humbert, médecin nucléaire au centre Antoine-Lacassagne (Nice), ont mis en avant les points forts de leurs modalités lors d’un « duel au sommet ».
Les avantages de la TEP et de l'IRM
« La TEP à deux gros points forts, entame Olivier Humbert. D’une part, c’est une imagerie moléculaire corps entier très sensible, d’où son intérêt pour détecter les métastases ou la récidive. D’autre part, c’est une imagerie quantitative qui permet de suivre la réponse tumorale en cours de traitement. » En réponse, Laure Fournier rappelle que l’IRM ne manque pas non plus d’atouts : « L’IRM de diffusion est aussi une imagerie moléculaire
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