Au congrès de la Société d'imagerie de la femme (SIFEM), la journée du 18 septembre était consacrée à l'imagerie du sein. Lors de la session technique, Patrice Taourel, radiologue au CHU de Montpellier (34), a passé en revue les recommandations de la tomosynthèse en 2021.
Évaluations en chaîne
En France, l’utilisation de la tomosynthèse pour le dépistage fait l’objet de nombreuses interrogations depuis plusieurs années : « En 2014, la direction générale de l'offre de soins (DGOS) a saisi l’Institut national du cancer (INCA) sur ce sujet, rappelle Patrice Taourel. En 2017, l’INCA a répondu par des questions et a saisi la Haute Autorité de santé (HAS) pour évaluer la performance de la tomosynthèse et la pertinence de son intégration dans le dépistage organisé. En novembre 2019, la HAS a répondu également en posant des questions dans le premier volet de son évaluation. On attend désormais le volet 2, qui théoriquement devrait répondre. »
Une technique non recommandée mais très utilisée
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