L'imagerie en corrélation de diffusion synthétique, Synthetic correlated diffusion imaging (CDIS) en anglais, délimite mieux les cancers de la prostate au sein des tissus environnants que l'IRM de diffusion, l'imagerie en pondération T2 ou encore l'imagerie à rehaussement dynamique de contraste, d'après une étude dont les résultats sont parus le 1er mars dans Scientific Reports [1].
Comparaisons entre quatre techniques IRM
Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont comparé à partir des images de 200 patients les courbes ROC issues de l'analyse des images provenant de quatre techniques d'IRM : l'IRM de diffusion, l'imagerie en pondération T2, l'imagerie à rehaussement dynamique de contraste, et la CDIS. L'objectif : comparer ces modèles dans leur capacité de différenciation entre cancer de la prostate et tissu sain, mais aussi entre cancer de la prostate cliniquement significatif et tissu sain, ou encore entre cancer de la prostate cliniquement significatif et cancer de la prostate cl
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