Pourquoi implanter une IRM à bas champ dans un service de radiologie moderne ? Dimanche 17 juillet, lors d’une session du Congrès européen de radiologie consacrée aux innovations en IRM, le radiologue catalan Joan Vilanova a répondu à cette question en s’appuyant sur l’expérience de son département d’imagerie de la clinique Girona. « Notre nouveau service compte trois IRM : une à 3 T, une à 1,5 T et une à 0,25 T, a-t-il exposé en introduction. Nous utilisons cette dernière pour les explorations musculosquelettiques. »
Une précision diagnostique équivalente à la 1,5 T
Dans ce domaine, et malgré un mauvais rapport signal bruit, les images obtenues à bas champ sont suffisantes pour assurer une précision diagnostique équivalente à celle que permet d’obtenir l’IRM 1,5 T, assure-t-il, en citant des études comparatives sur l’analyse des déchirures des ligaments croisés antérieurs et de ménisque [1], du rachis lombaire [2], ou encore de l’arthrite rhumatoïde de la main et du poignet [3]. « Plus
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