Rapport IRSN

Les indicateurs dosimétriques baissent dans tous les domaines

Dans son rapport triennal sur l’analyse des données dosimétriques en radiologie et médecine nucléaire sur la période 2019-2021, l’IRSN constate que les valeurs déclarées sont inférieures aux limites dans tous les domaines. Il recommande la révision de certains critères et invite les centres à poursuivre les efforts sur la transmission des données pédiatriques.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 15/06/23 à 7:00, mise à jour le 11/09/23 à 14:35 Lecture 5 min.

En scanographie, l’analyse de l’IRSN met en avant la très importante participation des centres concernés puisque « des évaluations dosimétriques ont été transmises pour près de 90 % des installations sur la période 2019-2021 » (photo d'illustration). © Carla Ferrand

Le 7 juin, l’IRSN a publié son bilan triennal de l’analyse des données relatives à la mise à jour des niveaux de référence diagnostiques (NRD) en radiologie et médecine nucléaire sur la période 2019-2021. Ce septième bilan « permet d’établir un état des lieux de la mise en œuvre des modalités introduites par la décision de l’ASN n°2019-DC-0667, en particulier en pédiatrie et en radiologie interventionnelle », mentionne le rapport en préambule.

Indicateurs dosimétriques

Dans les différents domaines de l’imagerie, les données relevées concernent un ou deux indicateurs dosimétriques : le produit dose surface (PDS) en radiologie conventionnelle, la dose moyenne à la glande (DMG) en mammographie numérique, l’indice de dose scanographique du volume (IDSV) et le produit dose.longueur (PDL) en scanographie, et l’activité totale et l’activité massique administrées en médecine nucléaire. « La médiane des 30 valeurs (ou plus) relevées sur des groupes de patients des grandeurs dosimétriques concerné

Il vous reste 87% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

OFFRE DÉCOUVERTE

11€

pendant 1 mois
puis 23 €/mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Carla Ferrand

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Sur le même thème

Le fil Docteur Imago

20 Mai

7:30

La mise en œuvre d’un programme de leadership positif dans un service d’imagerie du sein aux États-Unis a permis d’améliorer la perception du climat de travail et l’engagement des employés, réduisant l’épuisement professionnel et les intentions de départ, indique une étude parue dans Radiology.
17 Mai

16:00

Le constructeur GE HealthCare a dévoilé sa nouvelle IRM 3 T dédiée à l'imagerie cérébrale, spécialement conçue pour « faire avancer la recherche en IRM dans les procédures complexes en neurologie, oncologie et psychiatrie ». L’équipement est en attente de l'autorisation de la FDA et n’a pas encore le marquage CE, annonce GE HealthCare dans un communiqué.

13:30

Le scanner thoracique à très faible dose offre une grande précision dans la détection des anomalies pulmonaires post-COVID par rapport à un scanner à dose standard à moins d’un dixième de la dose de rayonnement. Il constitue donc une alternative pour le suivi des patients post-COVID, conclut une étude parue dans European Radiology.

7:30

Une étude publiée dans The Lancet Regional Health Western Pacific a identifié des anomalies cérébrales sur les IRM de personnes ayant eu des cas modérés à graves de Covid-19. Ces patients continuent de souffrir de troubles cognitifs, de symptômes psychiatriques et neurologiques et d’altérations fonctionnelles cérébrales, même après 2 ans d’infection, suggèrent les chercheurs.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR