Statut des PH

Un décret durcit les conditions de recrutement de praticiens hospitaliers contractuels

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 19/12/24 à 7:00, mise à jour le 19/12/24 à 10:51
Un décret signé le 4 décembre 2024 et entré en vigueur le 6 décembre modifie les conditions de recrutement et d’emploi de praticiens hospitaliers (PH) contractuels, qui étaient en vigueur depuis 2022 et la réforme du statut des PH.

Des contrats de 6 mois minimum

Principal changement : le durcissement des règles d’embauche pour motif de « difficultés particulières de recrutement ou d’exercice pour une activité nécessaire à l’offre de soins sur le territoire » (le « motif 2 »). Les contrats devront désormais être conclus pour une durée initiale de 6 mois minimum et de trois ans maximum, renouvelables sans excéder six ans. Par ailleurs, les candidats devront être inscrits au tableau de l’ordre national des médecins depuis au moins 5 ans.

Pas pour les titulaires en disponibilité

Le texte précise en outre qu’un PH titulaire mis en disponibilité d’office ou à sa demande selon les conditions prévues à l’article R. 6152-62 du Code de la santé publique, ne peut pas être recruté en tant que

Il vous reste 46% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Sur le même thème

Le fil Docteur Imago

13:17

Dans une méta-analyse incluant sept études, des données montrent que le poids total et la surface corporelle sont les meilleurs prédicteurs de l’amélioration hépatique au scanner avec contraste, contrairement au poids maigre.

7:18

L’administration de glucagon et d’hyoscine-butylbromure ainsi que le volume de la vessie, n’ont montré aucune association significative avec les artefacts de mouvement lors de l’IRM prostatique T2W. De fait l’utilisation régulière d’antispasmodiques et le vidage de la vessie peuvent être reconsidérés lors de l’IRM prostatique, indique une revue systématique qui souligne la nécessité de stratégies de dosage personnalisées en scanner avec contraste amélioré.

7:30

Une étude a quantifié l'ampleur et l'évolution de l'utilisation des produits de contraste chez les bénéficiaires du programme Medicare aux États-Unis (environ 13,5 milliards de mL administrés entre 2011 et 2024). Elle montre également qu'une catégorie d'examens d'imagerie représente la majeure partie de ce volume.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR