Le dernier congrès de la Société française de neuroradiologie (SFNR), qui s’est tenu du 21 au 23 mars à Paris, a consacré une session aux pratiques de la radiochirurgie au CHRU de Lille. Apolline Kazémi y a évoqué l’influence de l’embolisation des malformations artérioveineuses (MAV) intracérébrales avant traitement par radiochirurgie stéréotaxique.
La radiochirurgie est le dernier traitement
En préambule, elle a tenu à rappeler que « ni les indications, ni les modalités de l’embolisation avant radiochirurgie n’obéissent à une règle établie ». « Lorsqu’une indication thérapeutique de malformation artérioveineuse est retenue, on privilégie les traitements mini-invasifs dès que c’est possible, indique-t-elle. La radiochirurgie est en général le dernier traitement que l’on va réaliser de manière chronologique sur le nidus résiduel que l’on a pu obtenir avec les autres traitements, notamment l’embolisation. »
Deux cas de figure
Les traitements qui combinent embolisation et radiochirurgie inter
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