Docteur imago / Votre étude parue dans la revue European journal of cancer [1] s’intéresse aux effets de l’utilisation de l'autocompression en mammographie. Quelles méthodes avez-vous appliquées ?
Corinne Balleyguier / Nous avons travaillé avec 100 patientes. Ces femmes, âgées de 40 à 90 ans, nous étaient adressées pour des mammographies diagnostiques, des bilans d’extension, des suivis de cancer, des dépistages dans le cadre de risques élevés. Le manipulateur compressait un sein de façon classique, tandis que, pour le deuxième sein, il laissait la patiente terminer la compression à l’aide d’une télécommande. Pour l’autocompression, le manipulateur positionne le sein et applique une pression de 3 daN, le minimum pour que l’acquisition des rayons X soit possible. Nous expliquons aux femmes le but d’une compression réussie, que plus le sein est comprimé, meilleure est la qualité d’image, qu’il y a moins de rayons. Ça les motive.
D. I. / Qu’avez-vous constaté ?
C. B. / Avec l’autocompressio
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