Les internes américains sont-ils suffisamment au courant des bonnes pratiques en imagerie ? Selon une étude dirigée par le radiologue Thaddeus Hollingsworth, de la faculté de médecine de l’Université Emory à Atlanta (États-Unis), il reste des progrès à faire. Les résultats sont parus dans la revue Current Problems in Diagnostic Radiology [1].
Des internes toutes spécialités confondues
Entre mai 2016 et janvier 2017, les auteurs ont transmis trois enquêtes aux internes et « fellows » formés à différentes spécialités au sein de leur université sur deux années académiques. Ces enquêtes concernaient la sécurité des produits de contraste et en IRM, la pertinence des examens d’imagerie et les doses de rayonnements. De 1238 à 1266 internes (17,2 % - 19,9 %) ont répondu aux trois sondages.
Des doses de rayonnements sous-estimées
Les auteurs notent que 72 % des répondants (509 sur 706) déclarent demander des examens d'imagerie diagnostique de façon régulière, mais que moins de la moitié (47,8 % ; 4
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