Lors du congrès de la Société française de médecine nucléaire (SFMN), qui s’est tenu à Montrouge (92) du 28 au 30 mars, Géraldine Gebhart, médecin nucléaire à l’institut Jules-Bordet de Bruxelles (Belgique), a présenté son point de vue sur la place du fluorodéoxyglucose (FDG) dans la prise en charge du cancer du sein métastatique.
Panorama du cancer du sein métastatique
« 6 % des femmes sont diagnostiquées avec un cancer du sein métastatique de novo, a-t-elle souligné en préambule. Environ 50 % des patientes atteintes d’un cancer du sein développeront des métastases dans leur histoire clinique. L’os est le site métastatique le plus fréquent. » Les traitements actuels ont un impact positif sur la survie et la qualité de vie des patientes en général. « Cependant, dès lors qu’il y a des métastases, la guérison est rarissime, avec une survie à 5 ans tous cancers du sein confondus de 25 % à 30 % », tempère l’intervenante.
L’imagerie moléculaire informe sur toutes les métastases
D’après elle, da
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