Quelles modalités de prise en charge de l’accident vasculaire cérébral (AVC) peuvent influencer la durée d’hospitalisation des patients ? Une étude de l’Institut de recherche et documentation en économie de la santé (IRDES) de juin 2019 [1] tente de répondre à cette question complexe. Si elle n’aborde pas l’aspect strictement médical et technique, elle évoque le rôle positif joué par les unités neurovasculaires et l’influence du recours aux différentes modalités d’imagerie médicale.
67 % d’AVC ischémiques
Pour réaliser cette étude, l’équipe de l’IRDES s’est intéressée à la durée de séjour en hospitalisation initiale médecine, chirurgie, obstétrique (MCO) de patients adultes de France métropolitaine dont le diagnostic principal était un AVC constitué entre 2010 et 2019. Elle s’appuie sur une série de cohortes construite à partir du système national des données de santé. En 2012, 96 146 patients avaient été hospitalisés pour un primo AVC constitué avéré. Parmi ces AVC, 67 % étaient de type
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