En novembre 2019, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié le premier volet de son évaluation des performances de la tomosynthèse dans le dépistage organisé du cancer du sein. Ce rapport s’appuie sur une revue des méta-analyses, des essais contrôlés randomisés ou non, des études observationnelles et des revues systématiques qui se sont intéressés à cette question depuis 2014. Les experts de la HAS ont comparé les taux de détection relevés, ainsi que les taux de rappel, les taux de biopsies, les taux de faux positifs, la sensibilité et la spécificité.
Cinq études sélectionnées, une étude exclue
La HAS a identifié six méta-analyses dans la littérature : deux publiées en 2018 (Marinovich, Australie [1], Phi, Pays-Bas [2]), une en 2017 (Yun, Corée [3]), deux en 2016 (Hodgson, États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne [4], Houssami, Australie [5]), et une en 2014 (Lei, Chine [6]). La dernière n’a pas été retenue car « l’analyse de la performance de la mammographie par tomosynthèse concernait la co
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