Docteur Imago / Vous avez mis en place à l’hôpital Henri-Mondor, Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) une plateforme de TEP-IRM en oncologie baptisée SYMPTOM, pouvez-vous nous en dire plus ?
Emmanuel Itti / Ce projet, porté par Alain Luciani et moi-même depuis 2012, s’est concrétisé en juin 2017 avec l’installation de la TEP-IRM. Il a trois objectifs prioritaires en cancérologie : l’imagerie des hémopathies lymphoïdes, l’évaluation des cancers primitifs du foie et le suivi de patient atteints de neurofibromatose.
D. I. / Comment avez-vous justifié l’acquisition de cette machine onéreuse auprès de l’AP-HP ?
Alain Luciani / Le premier argument était que nous avions besoin d’une deuxième TEP. Ce besoin était d’ailleurs identifié par l’AP-HP. Le deuxième était qu’un centre comme l’AP-HP ne peut pas rester en dehors de l’innovation. Au départ, il y avait Siemens qui développait la TEP-IRM, puis il y a eu Philips et enfin GE Healthcare. Cette offre industrielle assez riche montrait
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