La prise en charge et le suivi des patients Covid présentant des formes longues de la maladie est désormais une préoccupation de santé publique et un facteur déterminant de la gestion de l’épidémie. Dans ce contexte, la médecine nucléaire, et notamment la tomographie par émission de positons, pourrait avoir un rôle à jouer, si l’on en croit les résultats d’une étude présentée dans European Journal of Nuclear Medicine and Molecular Imaging [1]. Ces travaux, menés par Éric Guedj, professeur et chef du service de médecine nucléaire à l’hôpital de la Timone - Assistance publique – Hôpitaux de Marseille, se sont intéressés à l’apport de la TEP au 18F-FDG pour comprendre les mécanismes et les conséquences du « Covid long » sur le métabolisme cérébral.
Des troubles variés et persistants
L’équipe a inclus 35 patients avec une Covid confirmée, qui présentaient des troubles persistants plus de 3 semaines après les premiers symptômes de l'infection. « Ces patients gardent une grande fatigue et un e
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