Dès les premières semaines de l’épidémie de Covid-19, le scanner s’est présenté comme une solution fiable pour évaluer l’atteinte pulmonaire chez les patients qui présentaient les signes cliniques d’un syndrome respiratoire aigu causé par le coronavirus 2 (SARS-CoV-2). D’après une étude pilotée par Laurent Zieleskiewicz et Marc Leone, médecins au service d’anesthésie et réanimation de l’hôpital Nord, Assistance publique – Hôpitaux de Marseille (AP-HM), l’échographie pulmonaire (lung ultrasound, LUS) pourrait jouer un rôle similaire, avec l’avantage, selon eux, d’être plus accessible et plus sûre que le scanner. « En période de pandémie, elle pourrait permettre de réduire les transferts au sein de l’hôpital et le risque de contamination du personnel et du matériel médical », écrivent-ils dans la revue Intensive Care Medicine [1].
100 patients testés positifs
Les anesthésistes marseillais ont mené leur étude en collaboration avec les services d’urgences, de radiologue et de méthodologie st
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