Le 24 mars 2022, les huitièmes Journées francophones de médecine nucléaire ont ouvert leur programme scientifique par une session dédiée à la « TEP-IRM en 2022 ». Aurélie Kas, cheffe du service de médecine nucléaire de l’hôpital Pitié-Salpêtrière, Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP), a évoqué l’utilisation de cette modalité pour la tête et le cou et Emmanuel Itti, qui dirige le service de médecine nucléaire de l’hôpital Henri-Mondor (AP-HP) à Créteil, s’est intéressé à ses applications pour l’imagerie du corps entier. « La TEP-IRM permet à la fois une acquisition des cibles métaboliques en TEP avec un traceur, et une acquisition de l’architecture tissulaire avec les contrastes disponibles en IRM », a-t-il rappelé.
Un mariage fructueux
Hybride, cette modalité encore confidentielle – seulement six unités en France – l’est aussi par la manière dont elle est exploitée. À Henri-Mondor comme à la Pitié-Salpêtrière, les résultats sont soumis à la double lecture d’un médecin nucléair
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