Trois radiologues des CHU de Valenciennes (59) et Montpellier (34) ont défendu, lors d’une session du congrès de la Société d’imagerie de la femme (SIFEM) l’usage de trois différentes modalités d’imagerie : scanner, IRM et échographie, dans le contexte des urgences gynécologiques.
L’échographie primordiale en première intention
Tout d’abord, Thibault Poclet, radiologue au centre hospitalier de Valenciennes, a rappelé que l’échographie abdominopelvienne reste l’examen de première attention lors d’une suspicion d’urgence gynécologique. L’objectif, explique-t-il, est de prendre en charge des patientes très rapidement pour des urgences vitales et fonctionnelles tout en préservant leur fertilité. « L’échographie a plein d’avantages. C’est un examen disponible, rapide à réaliser, non irradiant, qui va pouvoir être utilisé dans le cadre de pathologies gestationnelles et permettre d’établir des diagnostics différentiels, notamment digestifs », souligne-t-il.
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