Dans le cadre d’une étude chinoise publiée dans la revue Academic Radiology [1], des chercheurs ont proposé un modèle radiomique et un modèle radiographique basé sur le scanner basse dose (LDCT) pour prédire les adénocarcinomes pulmonaires à haut risque (LUAD) dans les nodules semi-solides et solides. Le modèle radiomique est basé sur des caractéristiques extraites des images de LDCT, et le modèle radiographique intègre quant à lui des paramètres classiques tels que le diamètre maximal de la tumeur, le ratio consolidation/tumeur (CTR) et certaines caractéristiques sémantiques, décrivent les chercheurs.
Identifier ces tumeurs à un stade précoce
Certains facteurs de l’adénocarcinome pulmonaire, tels que l’invasion pleurale viscérale, l’invasion lymphovasculaire, la propagation dans les espaces aériens et les métastases ganglionnaires, sont associés à un pronostic défavorable, rappellent les chercheurs. L’identification précoce des LUAD à haut risque pourrait donc, selon les chercheurs, avo
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article