Il n’y a pas de justification à retarder une mammographie de dépistage chez une patiente qui développe une lymphadénopathie après une vaccination contre la Covid-19, conclut un article paru en février 2022 dans Radiology [1].
Une étude sur 1 217 patientes
Cette recommandation s’appuie sur une étude rétrospective réalisée sur des patientes vaccinées et ayant passé un examen d’imagerie mammaire entre le 30 décembre 2020 et le 12 avril 2021, dans 17 sites d’une même institution. Sur les 1 217 patientes incluses dans la recherche, 44 % présentaient une lymphadénopathie ou adénopathie persistante jusqu’à 43 semaines après la vaccination, rapporte l’article, qui précise que les lymphadénopathies se sont développées dès le jour suivant la première dose de vaccin et jusqu’à 71 jours après la deuxième dose. Le ganglion moyen mesurait 1,8 cm (plage de 0,5 à 4,2 cm).
Des ganglions toujours présents après le report du dépistage
« J’ai été surprise par la rapidité avec laquelle les ganglions lymphatiqu
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