Charte de téléradiologie

« La charte de téléradiologie a fait bouger les lignes »

En cours de validation par le CNOM, la dernière mise à jour de la charte de téléradiologie initiée par le G4 devrait paraître en 2025. Les évolutions concernent notamment le plafonnement de l'activité, le dépistage, le traitement des données et la cybersécurité, explique Jean-Christophe Delesalle, secrétaire général de la FNMR et coordonnateur de la rédaction du document avec Pierre Champsaur, radiologue à Marseille.

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Le 11/02/25 à 7:00 Lecture 5 min.
Docteur Imago / Pourquoi mettre à jour la charte de téléradiologie ? Jean-Christophe Delesalle / Nous en sommes à la quatrième mouture de la charte. Il y a eu deux premières versions en 2009 et 2015 contenant deux documents, qui ont été synthétisés en une troisième version unique en 2020 faisant suite à l’audit FNMR de 2018 sur les sociétés de téléradiologie. Dans le dernier article de chaque version, il y a un engagement d'évolution de la charte, en fonction des dispositions réglementaires et du contexte d’usage. C’est ce que nous avons fait dans la dernière mise à jour, qui est en attente de validation par le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM), et devrait être publiée durant le premier trimestre 2025. La dernière étape serait l'opposabilité réglementaire de cette charte. Malgré nos demandes auprès des élus et de la représentation nationale, nous n’y sommes pas encore parvenu mais nous poursuivrons nos efforts. D. I. / Quels sont les grands changements de cette

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Auteurs

Solenn Duplessy

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12 Sep

16:00

La biopsie pulmonaire percutanée guidée par ultrasons (US-PLB) sur les patients pédiatriques serait sans rayonnement, sûre et précise d’après des chercheurs de l’hôpital de Beijing (Chine). Selon l’analyse de cohorte rétrospective menée sur 34 patients, l’US-PLB offrirait des conseils « critiques pour la prise de décision clinique ».  

13:29

Chez les patients atteints d'accident vasculaire cérébrale ischémique aigu, subissant une thrombectomie mécanique, mieux prévoir le risque de recanalisation futile serait possible grâce à deux marqueurs d'imagerie : Le scanner sans contraste et l'angioscanner. Selon l’étude parue dans Springer Nature, l’intégration d’un nomogramme grâce à ses données permettrait de faciliter la prise de décision thérapeutique.  

7:18

Jean-Philippe Masson, président de la FNMR, a reçu dans son centre d'imagerie à Carcassonne, le ministre chargé de la Santé et de l’accès aux soins, Yannick Neuder pour évoquer les déserts radiologiques et le protocole proposé par la CNAM. La FNMR a réaffirmé son opposition aux baisses tarifaires prévues et insisté sur la nécessité de mesures de pertinence, annonce la fédération sur le réseaux social Linkedin.
11 Sep

15:00

La reconstruction compensée en mouvement améliorerait « significativement » la qualité subjectives des images en réduisant les artefacts en angioscanner coronaire (CCTA) comparée à la reconstruction standard à 78 % d'intervalle RR. Une technique qui permet, selon l'étude retrospective, une meilleur interprétabilité de l'image diagnostic chez les patients orientés pour CCTA et ce dans la plupart des fréquences cardiaques et des grands vaisseaux (moins de 1,5 mm).
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