Du gadolinium dans les cerveaux

Faut-il craindre les agents de contraste au gadolinium ? Depuis que plusieurs études ont montré que certains d’entre eux peuvent laisser des traces dans le cerveau après des expositions répétées, le débat agite la communauté scientifique, les laboratoires pharmaceutiques et les pouvoirs publics. Pendant que les travaux de recherche se multiplient, certains soulignent l’absence de preuve de toxicité de ces dépôts quand d’autres invoquent le principe de précaution et appellent à la prudence. Le Commission européenne a tranché en novembre 2017, en retirant l'autorisation de mise sur le marché de trois agents de type linéaire.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 12/05/17 à 15:00, mise à jour hier à 14:30

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

Voir la fiche de l’auteur

Le fil Docteur Imago

16 Déc

16:17

Le coroscanner assistée par IA offrirait des performances diagnostiques élevées pour la détection des sténoses coronariennes, avec une sensibilité et une spécificité élevées (étude).

13:28

Deux modèles vision-langage (GPT-4o et GPT-5) appliqués à des examens d'imagerie thoracique ont montré des précisions diagnostiques de 15,9 % et 24,7 % quand ils se basaient sur les images et les métadonnées des patients, et de 40,1 % et 59,1 % quand ils se basaient sur les métadonnées et les descriptions écrites des images par des radiologues. Étude.

7:26

Une étude présentée dans AJR a comparé les performances de l'IRM 0,55 T, 1,5 T et 3 T dans la surveillance du néoplasme mucineux papillaire intraductal. « La concordance entre radiologues concernant les caractéristiques suspectes des kystes était excellente pour tous les champs et tous les examens à 0,55 T ont été considérés comme diagnostiques. »
15 Déc

16:23

Docteur Imago

GRATUIT
VOIR