« Pour réaliser une scintigraphie chez un enfant, il est nécessaire de s’adapter à son âge et à son comportement », débute Isabelle Keller-Pétrot, PH au service de médecine nucléaire pédiatrique de l’hôpital Armand-Trousseau AP-HP (Paris). Ce 24 mars, elle réalise aux 42es Journées d’études et de formation de l’Association française des techniciens en médecine nucléaire (AFTMN) une présentation en duo avec la manipulatrice Jocelyne Bernardo, dédiée à la prise en charge pédiatrique en médecine nucléaire. Elle commence par détailler les trois grandes tranches d'âge des patients, correspondant à des comportements différents.
« La lutte contre la douleur est une priorité absolue »
Entre 12 et 18 ans, l'interlocuteur est l'adolescent, et sa prise en charge est proche de celle de l'adulte. L'enfant de 6 à 11 ans est aussi l'interlocuteur principal des soignants, mais ces derniers doivent davantage s'adapter à son comportement et à ses peurs. Enfin, de 0 à 5 ans – près de 70 % des examens réali
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