Le groupe ENDOVALIRM [1] vient de publier un atlas d’imagerie afin d’aider au diagnostic de l’endométriose en IRM pelvienne, en particulier en déterminant un consensus sur la définition de l’endométriose des ligaments utérosacrés. En effet, selon Kinkel et coll. [2] en 1999, un ligament utérosacré était anormal si d’épaisseur supérieure à 9 mm alors que selon les recommandations de l’ESUR de 2017 [3], l’asymétrie et l’irrégularité des ligaments utérosacrés sont plus spécifiques que leur épaisseur. En pratique ce nouvel atlas ENDOVALIRM permet d’appliquer un consensus qui réduit les faux positifs tout en augmentant la sensibilité de l’IRM pelvienne.
Protocole d’IRM
Avant, tout le protocole d’une IRM pelvienne doit être de qualité, avec des séquences pondérées en T2 et en T1 avec des coupes fines, au moins en T2 dans le plan des ligaments utérosacrés et au mieux des séquences en 3D T2 et 3D T1 permettant une analyse multiplanaire oblique du pelvis et plus particulièrement du torus et des l
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