Du gadolinium dans les cerveaux

Faut-il craindre les agents de contraste au gadolinium ? Depuis que plusieurs études ont montré que certains d’entre eux peuvent laisser des traces dans le cerveau après des expositions répétées, le débat agite la communauté scientifique, les laboratoires pharmaceutiques et les pouvoirs publics. Pendant que les travaux de recherche se multiplient, certains soulignent l’absence de preuve de toxicité de ces dépôts quand d’autres invoquent le principe de précaution et appellent à la prudence. Le Commission européenne a tranché en novembre 2017, en retirant l'autorisation de mise sur le marché de trois agents de type linéaire.

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Le 12/05/17 à 15:00, mise à jour aujourd'hui à 14:30

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

08 Déc

16:12

Le scanner double-énergie en scanner n’apporte pas de supériorité technique constante par rapport au scanner standard pour la résolution en contraste des métastases hépatiques hypovasculaires, selon une méta-analyse.

11:00

Bayer a présenté au RSNA les premiers résultats pédiatriques de son étude QUANTI, montrant que son agent de contraste IRM gadoquatrane offre un profil pharmacocinétique et une sécurité comparables à ceux de l’adulte, tout en réduisant de 60 % la dose (communiqué).

7:10

Jeffrey S. Klein a été nommé le nouveau président de la Société nord-américaine de radiologie (RSNA).
05 Déc

16:13

14:12

Un système de score basé sur l'IRM pour prédire la spondylodiscite a démontré d'excellentes performances diagnostiques, et serait une méthode précise et standardisée pour la prise de décision clinique (étude).
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