Voilà maintenant deux ans que la réforme des autorisations des équipements lourds d’imagerie est en vigueur. C’était en juin 2023. Quelques mois plus tard, les différentes agences régionales de santé avaient publié leurs projets régionaux de santé (ARS), avec notamment un volet sur les objectifs en matière d’autorisations d’équipements lourds (lire Docteur Imago 36). Il était temps d’en tirer un premier bilan.
Une forme de libéralisation
Après des années plutôt défavorables en termes de quantité d’équipements, ce nouveau régime a ouvert très concrètement le champ des possibles. Pour une autorisation donnée, leur détenteur peut installer trois machines IRM ou scanner sur site sans devoir faire une nouvelle demande à l’agence régionale de santé (ARS) : une simple déclaration suffit. C’est le temps, pour l’imagerie lourde, d’une forme de libéralisation, qui donne davantage la main aux radiologues et établissements pour adapter au mieux l’offre en imagerie médicale.
Des ARS à l’écoute
Si libér
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