Il y a cinq ans de cela, nous réalisions un dossier sur la radiologie interventionnelle, évoquant alors son potentiel de développement (lire Docteur Imago n° 10) et ses nombreux atouts pour la profession. Nous écrivions alors d’elle qu’elle était ultraciblée, mini-invasive, versatile, à la fois diagnostique et thérapeutique, économique, incontournable, et j’en passe. Aujourd’hui, on peut affirmer que cette surspécialité de la radiologie a pris son envol, et s’en réjouir.
Phase de croissance
Car oui, la radiologie interventionnelle, loin de son état embryonnaire, est bien entrée dans sa phase de croissance. Plusieurs éléments le prouvent. D’abord, le nombre de confrères qui la pratiquent augmente. Les internes et les jeunes radiologues sont de plus en plus nombreux à vouloir s’orienter vers cette surspécialité. Ensuite, le nombre d’actes explose, même s’il est encore aujourd’hui compliqué d’en avoir une vision globale. Un des exemples est la neuroradiologie interventionnelle, où 7 1
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