La TEP-IRM est une machine d’imagerie hybride dont il n’existe aujourd’hui que quatre exemplaires en France. Au service hospitalier Frédéric-Joliot (SHFJ), l’appareil est utilisé à 50% pour l’activité clinique. Pour la neuro-imagerie, le SHFJ, centre de médecine nucléaire rattaché au CEA, a mis en place un partenariat avec le centre hospitalier Sainte-Anne (Paris). Des radiologues font une fois par semaine le déplacement jusqu’à Orsay pour interpréter les examens de TEP-IRM avec les médecins nucléaires.
Une association complémentaire
Ce vendredi matin, c’est la neuroradiologue Myriam Edjlali-Goujon qui rejoint Élise Blanchet, la responsable du service de médecine nucléaire, à la console de TEP-IRM. Comme il n’y a pas d’examen prévu aujourd’hui sur l’appareil, les deux médecins consacrent leur matinée à interpréter des images réalisées en début de semaine.
Parmi les examens réalisés avec le radiotraceur F-DOPA, Myriam Edjlali-Goujon et Élise Blanchet doivent notamment statuer sur le cas d’
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