Imagerie à distance

Le G4 actualise sa charte sur la téléradiologie

Le Conseil professionnel de la radiologie française (G4) a mis à jour sa charte de la téléradiologie fin 2018. Le nouveau document met en avant la notion de territorialité, qui doit guider l’organisation des dispositifs d’imagerie à distance.

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Le 31/01/19 à 8:00, mise à jour hier à 15:08 Lecture 2 min.

La charte compile les recommandations du G4 pour la pratique de la téléradiologie, de la définition de l’acte médical à la rémunération des téléradiologues, en passant par les aspects techniques et la sécurité des données (photo d'illustration). © Imadis

Les précédentes versions dataient de 2009 et 2014. Le Conseil professionnel de la radiologie française (G4) a édité en décembre 2018 une nouvelle mouture de sa charte de téléradiologie. À la différence des anciennes éditions, qui comprenaient deux textes, elle prend la forme d’un document unique.

Un cadre à la téléradiologie

Le texte s’articule en neuf chapitres qui couvrent les grands thèmes de la téléradiologie, de la définition de l’acte médical à la rémunération des téléradiologues, en passant par les aspects techniques et la sécurité des données. Dans un premier temps, le document décrit les deux volets de l’acte de téléradiologie que sont le télédiagnostic et la télé-expertise, puis rappelle le principe de justification. « La téléradiologie ne doit pas remplacer sans raison valable une prise en charge radiologique sur place par un radiologue local. Elle ne peut pallier des problèmes démographiques territoriaux qui doivent trouver une autre solution », précise-t-elle.

Projet médical

A

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Carla Ferrand

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